mots
Parfois,
je suis saoulée par les mots.
J'en suis saturée, dénaturée.
Alors, je désire m'enrober de silence,
afin d'être sublimement nue.
C'est là son paradoxe : on s'habille de silence pour être totalement dépouillé.
Les mots attrapent, agrippent.
C'est avec les mots qu'on possède l'Autre.
Avec eux qu'on agit sur l'Autre.
Une trêve de mots est parfois délicieusement libératrice !
J'aime bien les deux. fishfish
RépondreSupprimerJ'adhère à 300 % (une nouvelle lectrice).
RépondreSupprimerHello fishfish et pascalou !
RépondreSupprimermerci pour les traces que vous laissez ici,
cela me fait plaisir de vous lire !
bonne soirée