dimanche 24 mai 2009
Omar Khayyâm
Ne laisse pas la tristesse t'étreindre
et d'absurdes soucis trembler tes jours,
N'abandonne pas le livre, les lèvres de l'aimée
et les odorantes pelouses
Avant que la terre te prenne dans son sein.
(...)
Ne te dépense pas tant en tristesse insensée,
mais sois en fête.
Donne, dans le chemin de l'injustice,
l'exemple de la justice,
Puisque la fin de ce monde est néant,
Suppose que tu n'existes pas, et sois libre.
Omar Khayyâm
Epictète
Ne demande pas que ce qui arrive soit comme tu le veux,
mais veux ce qui arrive comme il arrive
et tu couleras une vie heureuse.
Epictète
Plutarque
Ainsi, pour parvenir à la sérénité, il sera bon, face aux événements contraires, de ne pas perdre de vue ce qu'ils peuvent comporter pour nous d'utile et d'intéressant : tempérons le mauvais par le bon afin qu'en tout le bon l'emporte. Mais si nous sommes capables de détourner les yeux, quand ils sont blessés par une lumière trop vive, vers les teintes apaisantes de l'herbe ou des fleurs, nous attachons par contre notre esprit aux événements qui lui causent de la peine ; nous l'obligeons à considérer à loisir les sujets qui lui sont désagréables - tout juste si nous ne le détournons pas de la force de tout ce qui pourrait lui causer du plaisir !
Plutarque
jeudi 21 mai 2009
Ze reteurne
Bonjour à Tous !
Après quelques semaines pendant lesquelles j'étais peu disponible, me voilà de retour !
J'ai continué à vous lire fidèlement, et, ces prochains jours, je vais essayer de renouer avec la part "blogueuse" qui sommeille en moi ;-)
Je vous remercie de votre patience en tout cas :-)
une bise à chacun de vous,
et à bientôt !
Après quelques semaines pendant lesquelles j'étais peu disponible, me voilà de retour !
J'ai continué à vous lire fidèlement, et, ces prochains jours, je vais essayer de renouer avec la part "blogueuse" qui sommeille en moi ;-)
Je vous remercie de votre patience en tout cas :-)
une bise à chacun de vous,
et à bientôt !
lundi 11 mai 2009
Perle II
Debout sur la terre nue,
Ma tête baignant dans l'air limide,
mes regards levés se perdent dans des espaces infinis,
je sens s'évanouir tout mesquin égotisme.
Je deviens une prunelle transparente ;
je ne suis rien ;
je vois tout ;
les courants de l'Etre universel circulent en moi ;
je suis une partie,
une parcelle de Dieu.
Ralph Waldo Emerson
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